Supergrave
@supergravebrume
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Supergrave revient sur un phénomène de la pop culture (cinéma, bd, séries, musique, jeu vidéo...) toujours dans un esprit de bande et surtout de pure déconne.
Joined September 2015
@brigadecine fait enfin son grand retour en compagnie de @FCalzettoni pour revenir sur un modèle de série b, où le polar cotoie le film catastroph, avec l'excellent Le Toboggan de la mort de James Goldstone (1977). Où comment parler de Columbo sans parler de Columbo !
Nouvelle enquête autour du Tobbogan de la mort (Rollercoaster en vo) une excellente série b, entre thriller et film catastrophe, signée James Goldstone en 1977. Un régal de jeu du chat et de la souris Hitchcockien scénarisé par les créateurs de Columbo ! https://t.co/Z6dNe2xznL
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Né un 20 novembre, l'infernal Raymond Lefebvre aka "l'homme qui rendait fous les tambourineurs". John Williams peut aller se beurrer la biscotte.
Raymond Lefebvre - "La Soupe Aux Choux" (1982) Une tuerie française totale. Ce soir sur la platine. #playlistermusic
https://t.co/x7DBdYY3Zg
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C'est la famille qui le dit. Et la famille a raison.
Il y a quelques jours de ça nous avons eu petit un débat avec un collègue pour déterminer si oui ou non Edgar Wright faisait un cinéma "adulte". Et cela à partir d'une envie, d'un délire, d'un désir de le voir sur un projet de film de guerre badass à la Douze Salopards.
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En 2026, ils vont voyager loin, très loin ! #Astérix - Le royaume de Nubie au cinéma le 2 décembre 2026.
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Film uppercut. Certains retiendront le doigt d’honneur du film d’autre à qui le doigt d’honneur est fait.
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Au delà de la qualité intrinsèque des films il y a un vrai mouvement à Hollywood d’arrêter de faire semblant d’être subtile mais juste l’envie d’asséner un propos politique avec une vrai rage de peur peut être qu’il ne puisse bientôt plus être tenu. Ici on est vraiment dans un
Il y a quelques jours de ça nous avons eu petit un débat avec un collègue pour déterminer si oui ou non Edgar Wright faisait un cinéma "adulte". Et cela à partir d'une envie, d'un délire, d'un désir de le voir sur un projet de film de guerre badass à la Douze Salopards.
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@johankata1 je me demandait vers quoi il allait bien pouvoir se diriger. Visiblement du côté de la fureur et désormais je me pose la même question vis à vis de son prochain film. Que va-t-il faire maintenant ? Edgar Wright un réalisateur adulte ? En tout cas un cinéaste passionnant.
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@johankata1 Une Bataille après l'autre. Des films à l'heure pour reprendre l'expression et c'est tant mieux j'ai envie de dire. En tout cela le cinéma d'Edgar ne cesse d'évoluer ou du moins ne cesse de se radicaliser toujours plus. En sortant de Last Night in Soho, son grand film maniériste
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Et comme me le faisait remarquer le toujours juste @johankata1, avec qui j'étais au sortir de la projection, il se passe définitivement quelque chose de violent, politique et frontal dans le cinéma contemporain américain après les réussites que furent Eddington et
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tous veulent nous formater dans une standardisation à grande échelle). Non plus sous un jour seulement dépressif, mélancolique et généreux qui le caractérise depuis ses débuts mais bel et bien avec une insoumission salvatrice de plus en plus flagrante et totalement premier degré
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seul face au groupe, face à la machine, face à un système comme à la grande époque de la trilogie Cornetto et de Scott Pilgrim, lui aussi coécrit avec son acolyte Michael Bacall (zombies, vigilantes, body snatchers, ex maléfiques...
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corporalité, comme un mix idéal entre Tom Cruise et Arnold Schwarzenegger, incarnant une fois de plus un rôle de prolo provocateur et intelligent avec le charme qu'on lui connaît. De plus Edgar Wright, en grand auteur qu'il est, persiste et signe dans sa thématique de l'homme
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Sur un fond mécanique chez Aldrich (le train) et un autre technologique chez Wright (la télévision, les plateformes, les réseaux sociaux...l'image partout et tout le temps). À ce titre Glen Powell est un excellent choix de casting véhiculant un je ne sais quoi old school dans sa
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Au fond Running Man est déjà son Douze Salopards, son film de guerre à lui et où les dés sont pipés depuis le début ou du moins son Empereur du Nord à lui dans sa vision de la lutte des classes où classe moyenne et pauvres doivent s'entretuer pour survivre à la dépression.
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d'écriture du roman d'origine et bien aidée par une super photo granuleuse de Chung Chung-hoon au rendu très pellicule) héritier de la colère de cinéastes francs tireurs avant lui comme Paul Verhoeven, John Carpenter, Sidney Lumet, Yves Boisset et...Robert Aldrich justement.
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