📊 Le #chômage n’a pas un seul visage. Notre dernière étude le confirme : derrière une même entrée à l’#Assurancechômage les situations sont très différentes. Et c’est cette diversité qu’il faut comprendre pour dépasser les idées reçues. ⤵️

Le chômage, ce n’est pas un statut. C’est une transition professionnelle qui prend des formes multiples selon l’âge, le secteur, la région, la qualification ou la nature du contrat. Cette diversité est au cœur du rôle de l’Assurance chômage.

Intérimaires dans le Nord, saisonniers en Corse, frontaliers dans l’Est… 🗺️ Le chômage reflète aussi la géographie de l’emploi. Impossible d’en parler sans tenir compte des territoires.

Les employés de particuliers, essentiellement des femmes, souvent entre 50 et 60 ans, souvent en temps partiel. Des parcours discrets mais essentiels à la vie quotidienne de milliers de familles.

Les #seniors sont surreprésentés dans les #licenciements pour inaptitude. Ici, l’indemnisation n’est pas un choix : c’est une protection indispensable après des carrières longues, parfois usantes.

Dans certains secteurs, l’emploi se construit par séquences : hébergement-restauration, agriculture, éducation… 👉 Ces parcours alternent travail, interruption, reprise. Rien à voir avec une “inactivité”.

Pourquoi c’est important ? Parce que les motifs d’entrée (CDD, rupture de CDI, inaptitude, saisonnalité…) ne traduisent pas les mêmes besoins ni les mêmes contraintes. Un même régime d'Assurance #chômage mais des trajectoires très différentes à sécuriser.

👥 3,8 millions de personnes sont accompagnées par l’#Assurancechômage fin 2024. Des parcours jeunes, seniors, très diplômés ou peu diplômés, salariés en transition, travailleurs saisonniers ou intermittents… Un mot “#chômage”. Une pluralité de réalités.

📊 Pour aller plus loin 👉 retrouvez tous les chiffres et analyses dans notre étude complète. 🔗 "Allocataires de l'Assurance chômage : diversité des profils en 2024" https://t.co/xb5JQNUKoO

📰 @AlainRuello dans @LesEchos revient également sur notre étude : "Qui sont les chômeurs ? L'étude qui casse les stéréotypes https://t.co/xZNMOFCfFa" / X Une lecture complémentaire qui confirme que derrière les chiffres, il y a des parcours pas des clichés.

🗺️ Les profils varient aussi selon les territoires : 👉 intérimaires dans le Nord, 👉 saisonniers en Corse, 👉 frontaliers à l’Est. Le #chômage reflète la géographie de l’#emploi.

⚙️ 1 allocataire sur 2 travaille pendant sa période d’indemnisation. ➡️ Un chiffre qui rappelle que le #chômage n’est pas une inactivité mais souvent une transition entre deux emplois.

💶 Les montants d’allocation varient selon les parcours : de 27 € à 69 € nets par jour. ➡️ Des montants qui reflètent les salaires antérieurs : un filet de sécurité pas un "revenu de confort".

🎓 Du CAP au master, tout le monde est concerné. ➡️ Le #chômage ne connaît ni âge, ni diplôme, ni métier. Il touche toutes les catégories professionnelles.

👶 Les jeunes arrivent souvent après un contrat court. 👴 Les plus de 55 ans après un licenciement pour inaptitude. 💬 Un même mot “#chômage” pour des réalités très différentes.

📑 1 entrée sur 2 à l’Assurance #chômage fait suite à un CDD ou une mission d’intérim. ➡️ Les contrats courts restent la première porte d’entrée dans le régime d'#Assurancechômage

👥 3,8 millions de personnes prises en charge par l’#Assurancechômage fin 2024. Des parcours très variés : contrats courts, CDI, reconversions… Bref, le #chômage n’a pas un seul visage.

💬 “Les chômeurs ne veulent pas travailler.�� 💬 “Les allocations sont trop généreuses.” 💬 “Le chômage, c’est un choix.” 🤔 Derrière ces phrases, il y a des réalités bien plus complexes. 👉 Notre étude les éclaire, chiffres à l’appui. Et si on regardait les faits ? ⤵️

Ces données montrent une réalité : le #chômage et son indemnisation ne se vivent pas de la même façon. 📊 Tous les indicateurs régionaux sont à découvrir ici https://t.co/a42Un40l1m

En #ÎledeFrance, 38 % des allocataires sont diplômés du supérieur. ➡️ Dans d’autres régions (Centre-Val de Loire, Grand Est, Corse, Hauts-de-France…), la part des allocataires sans Bac dépasse la moyenne nationale de 6 à 8 points.