Nostalgie… Le Sporting Club de (Ras) Beyrouth, contre vents et marées: « un lieu tellement culte, quelque part où le soleil brille autrement »

Et pour être calé sur le sujet, je ne peux que conseiller cette vidéo @Nice_Matin de @FloraZanichelli et @Qlazeyras: c’est tout ce qu’il faut savoir sur Giorgia Meloni, cette candidate aux législatives en Italie qui pourrait devenir Première ministre

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Ce dimanche, c’est jour d’élections en Italie. Je suis allé à Airole, où le phénomène migratoire subi à Vintimille, à la fois si proche et si loin de ce village touristique de Ligurie, pèse sur le scrutin qui pourrait mener l’extrême droite au pouvoir ⬇️

Le viager, vrai bon plan de l'immobilier? C'est le thème de la 2e émission "Le point Immo" de la rédaction de ⁦⁦@Nice_Matin⁩

« Il y a des morts qui sommeillent dans des chambres que vous bâtirez. Des morts qui visitent leur passé dans les lieux que vous démolissez. Des morts qui passent sur les ponts que vous construirez » M.D.

Vers une coalition France-Italie.

Le reportage complet de @Nice_Matin, c’est là 👉

Nice, "une ville de brassage, qui attire, qui bouge et qui accueille avec encore beaucoup d’opportunités pour des talents extérieurs qui apportent du renouveau", présage François-Régis Gaudry le journaliste gastronomique de France Inter et Paris-Première (Photo Fiamor Homayoun)

"Autour de la table à Nice, il y a une énergie folle, une vraie effervescence", note le professeur agrégé de Lettres classiques et chercheur indépendant en cultures culinaires Stéphane Solier. (Photo Marielle Gaudry)

Pour Guillaume Tran-tu, qui a lancé Mallard, un pur bistrot du côté de Nice-est, comme pour les autres chefs, cette démarche s’inscrit dans celle d’un ticket moyen sans délire: "nos clients payent 70€ ce qu’ils paieraient 120€ dans un étoilé"

Au Canon, Sébastien Perinetti a fait de la quête de l'exceptionnel sa marque de fabrique: "On cherche une plus-value sur le produit avant la rentabilité. C’est simple, ce que j’aime et ce que j’ai envie de manger et boire, je le partage".

"Les cuisiniers qui ont évolué dans des grandes brigades, qui ont de la rigueur, et la conscience d’une cuisine professionnelle ont rendu le renouveau possible.".

"C’était presque de mauvais goût de manger niçois", regrette Pierre Altobelli, qui, selon François-Régis Gaudry, "magnifie la tradition d’une osteria nisso-ligure avec la précision d’un chef français".

Et la gastronomie niçoise a beaucoup évolué avec la bistronomie. "Avant, tous les cuisiniers étaient focalisés sur les étoiles et avaient laissé la petite restauration de côté, les petits établissements, à des amateurs", se souvient Dominique Le Stanc, à La Merenda

L'exception niçoise tient autant à l'ébullition d'une jeune scène gastronomique, parrainée par la personnalité de grands chefs primés, qu'aux richesses du terroir local et à la rencontre des tendances gastronomiques très actuelles avec la Méditerranée.

"Nous nous rejoignons dans la volonté de donner beaucoup de plaisir et de ne pas penser qu’au chiffre d'affaires", tranche Olivier Labarde, le créateur de La Part des Anges, la cave distinguée comme la meilleure de l'Hexagone en 2021 par La Revue du vin de France.

Tous ces chefs nourrissent une même ambition. Ils proposent une gastronomie abordable et sincère, parfois engagée, apportant une touche de modernité aux classiques de la cuisine niçoise ou privilégiant une approche locavore et flexitarienne.

Authenticité, rigueur, générosité des saveurs, convivialité, partage et convictions… Pas étoilés mais très prisés, des chefs mettent en ébullition la scène culinaire niçoise #Nice06 🧵

Ça manque d’éloquence et d’espoir. Merci, bonsoir #debatmacronlepen.

"Tantôt déchirante, tantôt amusante, la poésie amoureuse de Bukowski dit le cru et les cuites, la plénitude et l’hébétude, la douceur d’un réveil et la cruauté de l’absence"