Le Sénat a écarté certaines mesures punitives, mais n’a engagé aucune politique favorable aux TPE. Aucune baisse de charges, aucun soutien structurel, aucune simplification. Plusieurs décisions alourdissent au contraire les coûts et fragilisent les trésoreries.

🔴 COMMUNIQUÉ | PLF / PLSS Sénat : Les TPE gagnent un sursis, pas un soutien, ni un cap ! Pour le SDI, si certaines décisions évitent le pire, aucune mesure ne constitue un soutien réel aux très petites entreprises. https://t.co/ThBBXw7Dpw

Le Black Friday ne profite pas à l’économie nationale et locale : il concentre les ventes entre les mains des plus gros acteurs et fragilise encore un peu plus les commerces de proximité. Derrière les remises affichées, ce sont des emplois, des villes et un tissu économique

Nous sommes prêts à travailler avec les pouvoirs publics pour optimiser l'efficacité de chaque dispositif et s'assurer qu'il profite aux TPE qui investissent sur le territoire national. Mais attention : casser l'outil sous prétexte de le réparer serait une erreur historique.

Allonger le congé de naissance est une belle avancée, à condition de ne pas laisser les TPE gérer seules une réforme aussi structurante. Une telle mesure doit être pensée et organisée.

Une TPE consacre 20% de son temps productif aux obligations administratives. La charge normative représente jusqu’à 3% du CA pour une entreprise de 2 à 3 salariés. Conformité, RGPD, accessibilité, environnement… une accumulation devenue insoutenable. Il est temps d’alléger la

Cela fait 20 ans que les missions de simplification se succèdent… et rien ne s’arrange. Nos TPE subissent une complexité normative devenue ingérable, sans moyens pour l’absorber. Merci @LCI pour cette discussion essentielle : les TPE sont en saturation complète !

Ce vote unanime est une victoire du terrain. La stabilité fiscale n’est pas une option, c’est la condition de survie de nos TPE. Les députés ont fait preuve de responsabilité en écartant une réforme qui aurait cassé des milliers d’entreprises locales.

S’attaquer aux excès de quelques grandes structures ne doit pas aboutir à verrouiller la transmission des petites entreprises familiales. Ce serait une double peine pour nos artisans, commerçants et indépendants !

Pour la première fois, l’Europe sanctionne réellement le modèle économique de la fast-fashion. Demain, c’est au Parlement français de montrer qu’il ne reculera pas. C’est un rendez-vous que nos commerces de proximité attendent !

2 euros, c’est symbolique ; 10 euros, c’est un signal clair. ! Avec cet amendement, le Parlement reconnaît enfin que la concurrence ne peut plus être à sens unique

Notre positionnement est clair : Sans sttabilité réglementaire et un cap clair, l'investissement et la transmission des entreprises de proximité sont durablement compromis. Nous continuerons d'exiger les garanties nécessaires à la pérennité de notre tissu économique.

Nous le réaffirmons avec force : l'exigence d'une équité fiscale est au cœur de notre mobilisation ! La fiscalité ne saurait pénaliser les acteurs de l'économie de proximité. ✊Notre organisation est mobilisée pour garantir cette justice essentielle.

Pour les TPE, c’est un épisode de plus dans un feuilleton d’instabilité qui nuit à toute visibilité économique. Chaque revirement politique ajoute une couche d’incertitude pour ceux qui, sur le terrain, essaient simplement de tenir leurs entreprises à flot...

Oui, la pression fiscale et sociale augmente, mais pour nos très petites entreprises, c’est d’abord la trésorerie, le coût du travail et la complexité administrative qui étranglent le quotidien !

Le relèvement du seuil du taux réduit d’impôt sur les sociétés (IS) est un signal positif envoyé au terrain. Pour une fois, le Parlement reconnaît que nos petites entreprises ne spéculent pas, elles travaillent, elles réinvestissent et elles embauchent !

L’efficacité d’une mesure se juge à son impact réel. Nos TPE ont besoin de pouvoir répondre à la demande sans être immédiatement sanctionnées par un surcoût rédhibitoire. Le SDI propose d’ouvrir le débat sur une réforme de fond de la durée légale du travail en France.

Ce premier pas doit ouvrir la voie à une stratégie globale de protection du commerce français face à la fast fashion et aux pratiques déloyales venues de l’étranger !

Ce premier pas doit maintenant ouvrir la voie à une stratégie globale de protection du commerce français face à la fast fashion et aux pratiques déloyales venues de l’étranger.

L’amoralité n’est pas un modèle économique ! Si ces plateformes ne respectent pas nos règles, elles doivent être écartées du marché français.