Ce jeudi 12 décembre c’est le dernier conseil municipal de l’année 2024 à Marseille. Thread 🧵

Un article à lire, aussi, sur @Mediapart ⤵️ https://t.co/3gOV7O2m7j

[À lire] Pour son lancement, l'émission Les Tchatcheurs de BFM Marseille a invité Audrey Marchand. Présentée comme une simple "militante politique", elle est une ex-candidate Reconquête aux législatives. BFM invoque une "erreur" de présentation. @Marsactu https://t.co/pDSqZw5TEL

🔴 Le tribunal administratif a statué en urgence ce samedi 25 octobre et donne tort à la Ville de Marseille, qui avait déprogrammé le film « Sacré Cœur » de son cinéma municipal. Il sera projeté au château de la Buzine ce samedi et mardi prochain. ➡️ https://t.co/8ZAPJKBY9T

Pour en savoir plus sur le contexte de la déprogrammation du film « Sacré Cœur » au château de la Buzine par la Ville de Marseille et la polémique qui en a suivi, rendez-vous sur @Marsactu ⤵️ https://t.co/i0y8FknsiJ

Sur les menaces de morts reçues par le maire de Marseille, Benoît Payan (divers gauche), suite à la déprogrammation, Martine Vassal commente : « Quand on monte les gens les uns contre les autres, on en arrive a des situations qui sont terribles ».

La présidente de la métropole indique avoir contacté le producteur et le réalisateur pour diffuser le film « dans les régies métropolitaines » : « On est en train de regarder. On a plusieurs idées dequipents ». Sans préciser lesquels.

Martine Vassal commente : « C’est un film qui a reçu l’autorisation du CNC et qui est donc diffusable. Au même titre que les dix commandements ». Elle dénonce « une laïcité à géométrie variable » du maire de Marseille, qui a justifié sa décision de déprogrammer par ce motif.

[MP4] Alors que la polémique sur la déprogrammation du film « Sacré Cœur » au château de la Buzine par la Ville de Marseille continue, la candidate divers droite aux municipales Martine Vassal a convié la presse pour réagir au sujet avant d’aller voir elle même le film au cinéma.

[À lire] Au nom de la laïcité, la Ville de Marseille a fait le choix de déprogrammer la diffusion du film, à "caractère confessionnel", prévue dans un équipement municipal. Décision qui a suscité l'ire de la droite et de l'extrême droite. @Marsactu ➡️ https://t.co/i0y8FknsiJ

🎯 +500 abonnés. Soutenez la presse indé #Marseille "Dans un paysage médiatique local dominé par les influences économiques et politiques, #Marsactu ne ménage personne. La principale menace sur l’indépendance, voire la survie de Marsactu, est économique." https://t.co/jjoXVff4E4

[Flash] Le procès en appel du drame de la rue d’Aubagne se tiendra à Marseille du lundi 2 novembre 2026 au vendredi 19 décembre 2026, a appris @Marsactu. Les débats sont prévus pour durer six semaines dans la même salle qu'en première instance en 2024. ➡️ https://t.co/7L0pKDjsip

@Marsactu J'en profite pour mettre le lien de la campagne d'abonnements qu'on vient de lancer sur @Marsactu. Si vous ne l'êtes pas encore, abonnez-vous pour lire cet article - et pleins d'autres à venir - ou partagez autour de vous si vous l'êtes déjà. (8/8) ➡️ https://t.co/nY5gWfFWCv

En attendant que les candidats pressentis ou déclarés aux municipales 2026 à Marseille se lancent dans une bataille de chiffres et d'interprétation de cette étude, vous pouvez retrouver ses principaux éléments dans mon article à lire sur @Marsactu.⬇️ (7/8) https://t.co/ACEz5BwmwE

Quand ? L'étude complète et finalisée sera restituée d'ici à la fin de l'année, et donc à quelques mois des élections municipales de 2026. Balayant toute idée de coconstruction entre les collectivités. Mais elle viendra nourrir la campagne électorale (et les programmes). (6/8)

Et maintenant ? Ce diagnostic n'est que la première phase de l'étude, qui va maintenant se pencher sur des propositions en faveur du commerce dans le centre-ville de Marseille afin de construire un plan d'actions avec les partenaires, la mairie, la métropole et la région. (5/8)

Mais encore ? L'enquête de terrain montre aussi que les commerçants du centre-ville de Marseille s'estiment en difficulté économique, même si l'impact du départ des Galeries Lafayette est perçu comme "faible". La propreté et l'insécurité sont leurs préoccupations premières. (4/8)

Elle dit quoi cette étude ? En bref, la situation est "préoccupante", notamment pour les centres commerciaux du centre de Marseille, dont l'installation a entraîné une dispersion de l'offre et donc de la vacance, qui est de 20% sur le grand centre-ville, contre 19% en 2018. (3/8)

@Marsactu C'est quoi cette étude ? En mars, le président de la région Renaud Muselier lance l'idée de poser un diagnostic du commerce dans le centre-ville de Marseille. La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) la pilote avec le financement de la Ville, la métropole et la région. (2/8)

🧶 La liquidation des Galeries Lafayette à Marseille a relancé, à quelques mois des municipales, le débat sur le commerce dans le centre-ville. Pour @Marsactu, j’ai consulté la synthèse d’une étude sur le sujet commandée par les collectivités. (1/8) ➡️ https://t.co/ACEz5BwmwE

[À lire] Ce vendredi 17 octobre, la région a voté la baisse du versement mobilité, la contribution des entreprises aux transports. Depuis plusieurs mois, les organisations patronales se mobilisent contre cette taxe. @Marsactu ➡️ https://t.co/w9yHTAemwV