Avec son sang j'ai arrosé le sol,
Ses lèvres avaient arrosé les miennes d'amour,
Sur son cou frêle j'ai passé mon sabre,
Tandis que mes larmes coulaient sur mes joues.
Je jure par ses souliers que le sol n'a rien connu,
De plus précieux que la légèreté de ses pas