Bon je vais faire un thread de mes thread pour ne pas oublier de les continuer, parce que il y en a certains que j'ai littéralement mis de côté, et ça me permettra d'en commencer de nouveaux sans problèmes et ça c'est toujours cool. Donc c'est parti :.

Une p'tite anecdote nocturne sur les fourmis et je vous souhaite une excellente nuit à tous et toutes là dessus 😁

j'aurai peut-être dû écrire "soit la plus dangereuse d'entre elle".

Voilà tout pour ce thread, j'espère que ça vous a plus ! 😁

la vie microbienne. Beaucoup d'autres scientifiques sont sceptiques et s'appuient sur les trois principales théories venant en réponse au paradoxe de Fermi pour appuyer sur la faible probabilité (i) qu'on soit seul ou (ii) qu'on ne le soit pas mais qu'on ne le sache jamais !.

Shostak militent pour continuer la recherche active, en s’appuyant sur l’équation de Drake (estime le nombre de civilisations extraterrestres communicantes dans la Voie lactée) et l’écoute de signaux, tandis que Sara Seager mise sur la détection de biosignatures pour trouver de

s’accordent globalement sur une idée centrale : la vie simple est probablement assez courante, mais la vie intelligente, techniquement avancée et détectable l’est beaucoup moins, ce qui explique le silence. Des voix optimistes comme Carl Sagan, Frank Drake, Jill Tarter et Seth.

encore au moins une autre civilisation avancée quelque part, peut-être même plus évoluée que la nôtre. Cette tension entre solitude possible et multiplicité plausible est ce qui rend la question aussi fascinante et terrifiante ! . De leur côté, les grands scientifiques

de 53 % à 99,6 %, que nous soyons seuls dans la Voie lactée. En même temps, des calculs montrent que si la probabilité qu’une planète habitée développe une civilisation technologique dépasse un seuil extrêmement bas, alors il est plus probable qu’il y ait eu ou qu’il y ait.

d'un bruit naturel. Les chiffres restent ambivalents (et très approximatifs), ce qui en dit long sur la complexité du problème. Certaines estimations donnent entre 39 % et 85 % de chances que nous soyons seuls dans l’Univers observable, et une probabilité encore plus élevée,

microbienne passée ou présente. Les méthodes d’analyse s’améliorent : les algorithmes pour trier les données, les campagnes d’observation plus larges et les instruments plus sensibles augmentent petit à petit notre capacité à distinguer un véritable signal d’une interférence ou.

par exemple des structures artificielles ou des variations de luminosité qui ne s’expliquent pas naturellement. En parallèle, des missions explorent les mondes du système solaire (comme Mars, les lunes glacées de Jupiter ou de Saturne. ) à la recherche de traces de vie

Des sondes comme Voyager ont emporté des messages sur nous, notre espèce et notre histoire vers l’espace lointain, dans l’espoir qu’un jour quelqu’un puisse les trouver, et les astronomes observent aussi les étoiles proches pour détecter des signatures technologiques inattendues,.

dans le cadre de programmes comme SETI. Des télescopes spatiaux et au sol examinent les atmosphères des exoplanètes, cherchant des combinaisons de gaz telles que l’oxygène, le méthane ou d’autres molécules qui seraient des indices de processus biologiques actifs.

Pour essayer de trancher entre ces hypothèses et sortir du doute, la science agit concrètement sur plusieurs fronts. Des radiotélescopes scrutent le ciel en écoutant des signaux radio structurés ou réguliers que seules des sources artificielles pourraient produire.

Imaginez un univers où chaque civilisation intelligente, consciente du danger potentiel de se faire repérer, choisit de rester silencieuse. Dans ce scénario, le silence est volontaire : révéler sa présence serait risquer une attaque, et la survie impose la discrétion !

que leur conjonction est extrêmement improbable ailleurs. Ce qui est courant ce sont peut-être les bactéries, mais ce qui est rare, ce serait l’intelligence, les sociétés durables capables de construire et d'inventer des technologies !. La troisième théorie ? "La forêt sombre".

puisqu'on a bénéficié, rappelons le : d'une position idéale par rapport à notre étoile, de la présence d’une grande lune stabilisatrice, de l'existence d'un champ magnétique protecteur, d'une planète animée d'une activité géologique, d'événements accidentels divers favorables.

d’entre eux est encore devant nous et la survie à long terme de notre propre civilisation est incertaine. Ensuite : la théorie de "la Terre rare". Celle-ci avance le fait que les conditions qui ont permis à la vie complexe d’émerger ici, sur Terre, sont tellement particulières.

parvient jusqu’à un niveau suffisamment avancé pour émettre ou être détectée. L’existence du Grand Filtre peut être perçue de deux façons : soit nous avons déjà franchi les étapes les plus dures, et notre présence est un exploit exceptionnel. soit le plus dangereux

Ce dernier suggère que l’évolution d’une simple molécule à une civilisation technologique capable de se faire connaître implique de franchir une suite d’étapes très difficiles. La rareté de la réussite/de la survie à ces étapes pourrait faire que presque aucune civilisation ne.