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« Gaza a tout changé. Il y a des gens que je ne souhaite plus voir, des espaces médiatiques que je ne souhaite plus fréquenter. (…) Le pire, c’est que la protestation médiatique et politique officielle a commencé à 50 000 morts, ce qui a tracé la ligne cynique de l’indignation

Ma région 🇩🇿🙏 Qu’Allah préserve notre terre de tout mal et nous guide vers la droiture …

Quel but incroyable ➕ je vais la mettre dans les archives ! #Mbolhi est de retour de sa fugue …

😂😂 Ils ont mis le mot clé « Algérie », les Français qui votent RN, ils sont tellement cons qu’ils vont y croire ! #louvre

Mdrrr kyyyyykyyyyyyyyy 😂 OUIIIIIIII OUIIIIIIII

Bravo à ce monsieur , qu’Allah le préserve 🙏n’attendez rien, faites pour votre pays, chacun peut apporter. Ne soyez jamais découragés par les pommes pourries. Notre pays 🇩🇿 est une partie de nous ; à nous de le rendre meilleur ! Notre jugement devant notre créateur ne sera

L'#Algérie lance une campagne nationale de reboisement aujourd’hui le 25 octobre 2025 avec l'objectif de planter un million d'arbres en 24 heures à travers le pays. Cette initiative, coordonnée par le ministère de l'Agriculture, de la Direction générale des forêts et

#Neghiz qui ne savait même pas que la ligue saoudienne allait être suspendue durant 22 jours ! On en est là… 😮‍💨

🧩 Plein de threads à venir, pour que les supporters restent conscients et surtout pour exposer tous les incompétents notoires sans compétence qui profitent depuis trop longtemps des avantages que leur poste leur accorde ! Il suffit juste d’y voir un peu plus près !

✊ Tant que cette matrice politique et financière ne sera pas démantelée, le football algérien restera prisonnier des mêmes logiques et des mêmes hommes. Changer le visage du président ne change pas le système.

🔟 La chute de Raouraoua n’a jamais eu lieu. Son système, lui, est resté en place. Ce qu’il a bâti entre 2001 et 2017 continue d’imposer la loi du silence, du copinage et de l’impunité.

9️⃣ Après son départ, la chasse à Zetchi s’organisa. Entre 2017 et 2021, Kheïreddine Zetchi, son successeur, fut la cible d’une campagne de diffamation et de sabotage orchestrée dans l’ombre du clan Raouraoua. Objectif : le discréditer, bloquer toute réforme et préparer le terrain

8️⃣ Selon Algeriepatriotique, il avait conclu un “deal secret” avec les autorités : se retirer discrètement de la FAF contre le soutien de l’Algérie à sa candidature au Comité exécutif de la CAF. Mais il choisit le bras de fer — un acte de défiance qui lui coûta son poste, sans

7️⃣ Pendant plus d’une décennie, il bénéficia d’un soutien politique total, jusqu’à la débâcle de la CAN 2017. Mais même lorsqu’il perdit officiellement la présidence, le système Raouraoua ne disparut pas. Il laissa derrière lui ses hommes, ses méthodes et ses relais.

6️⃣ Sous ses mandats (2001–2006, puis 2009–2017), il bâtit un empire d’influence continentale à la CAF et à la FIFA. Derrière l’image du diplomate courtois se cachait un stratège politique qui utilisait le football comme instrument de pouvoir.

5️⃣ Lorsqu’il prit la tête de la FAF en 2001, il appliqua la même logique : contrôle total, gestion fermée, réseaux d’influence. Les assemblées générales devinrent des formalités. Les élections, des plébiscites préparés d’avance.

4️⃣ Il investit ensuite dans la boulangerie industrielle, puis dans l’immobilier. Le projet emblématique reste la tour de Bab Ezzouar, financée par des circuits obscurs et hébergeant banques et opérateurs téléphoniques. Derrière, des entreprises étrangères déjà liées à la FIFA.

3️⃣ Dans les années 90, alors que le pays traversait la décennie noire, Raouraoua se lança dans un business réservé aux initiés : l’importation de farine. Un commerce extrêmement lucratif, strictement encadré par l’État, qui ne pouvait être accordé qu’à ceux disposant de soutiens

2️⃣ Rien ne le prédestinait à ce parcours. Ancien placier de salle de cinéma, il gravit les échelons grâce à ses relations, non à ses compétences. Son ascension illustre le fonctionnement d’un système fondé sur le réseau et la connivence, non sur le mérite.

1️⃣ De 2001 à 2017, Mohamed Raouraoua a façonné la Fédération algérienne de football (FAF) à son image. Sous son règne, la FAF est devenue une structure verrouillée, mélange d’intérêts politiques, économiques et personnels. Un modèle qui perdure encore aujourd’hui.