Je suis assistant de conservation aux bibliothèques de #Montreuil depuis 2003. Employé communal jusqu'à 2012, transféré à Est-Ensemble en 2013. Je suis représentant syndical depuis 2008. A ce titre je m'implique dans des conflits du travail du @MeliesCinema

De l'intelligence dans les débats municipaux https://t.co/gmlX0tK09w #Montreuil #cm93100 #ChatGPT

Suite à ma convocation au tribunal c’est avec une certaine surprise que je suis convoqué pour un rappel à la loi ou avertissement pour ce fait de « menaces », que je ne reconnais pas. Le formulaire qu'on m'a demandé de signer est destiné aux admonestations de mineurs.

Au bout d’un mois seulement l’administration a réagi. Comme par hasard au moment où Stéphane Goudet déposait plainte pour « harcèlement et menaces » pour certains propos imagés décontextualisés de l’une de ces vidéos, « Cosme en 14 », la vingt-troisième.

J’ai entamé à la sortie du confinement une série de vidéo pour proposer MA version des affaires Méliès, ou plutôt des affaires Goudet. Dans les première je dévoile la majeure partie du rapport de la médecine préventive de 2012. https://t.co/Xp08nJmn2k

Ce débat est diffusé sur Facebook par Dominique Cabrera, productrice du film, et relayé par la page facebook officielle du cinéma. Malgré mes demandes à l’administration cela n'est retiré qu'après plus d'un an de lutte pied à pied.

A ce moment vu mon «pétage de plomb» en cette période difficile de confinement, je consulte mon médecin et me vois prescrire un antidépresseur et des calmants de type benzodiazépines, ce qui m’est particulièrement pénible étant donné mon vécu de toxicomane en rémission.

Avril 2020, lors du confinement, CQNR est diffusé par l’asso « Addoc ». Il fait ensuite l’objet d’un débat toujours en ligne, où un ancien projectionniste du Méliès me désigne en refaisant l’histoire comme « syndicat jaune » (un participant au débat corrige en disant « vert »).

Début 2020, le film tourne dans quelques cinémas, des débats sont organisés. Goudet, l’une des 10 « personnalités de la culture » de Montreuil s’engageant pour @PatriceBessac et présent sur ses tracts. Il me mentionne à plusieurs reprises sur facebook de manière infamante.

La représentante de la DRH vie au travail a quitté la collectivité et nous n’avons pas eu connaissance du contenu de son rapport. Lors du CHS-CT on n’a pas répondu à mes alertes sur les faits passés sous silence par le rapport

J’ai déposé un préavis de grève sur la période de diffusion du film. Des courriers se revendiquant de l’ « équipe salle » du cinéma, non signés ont été adressé pour demander de retirer ce préavis et dénonçant mon action.

Le flou de certaines tâche, comme le site internet « officiel » du cinéma réalisé « en douce » par un caissier. Au contraire certaines choses anormales et problématiques sont considérées « formidables » par le collègue CGT. https://t.co/IrPQ3FSbi0

Un mélange des genres entre travail et vie privée avec des épisodes encore plus problématiques que l'affaire du festival. Une protection au bénéfice de personnes abusives et perturbatrices.

N’apparaissent pas dans le rapport des mises en causes directe prononcée par les agents, malgré la gravité des propos : «phénomène de cour», «pas de clarté dans la hiérarchie», «nous n’entendons que des louanges sur des personnes qui ici nous maltraitent»

Stéphane Goudet a demandé à ce que je sois absent lorsqu’il a été entendu, donc, par la représentante de la DRH et celui de la CGT.

C’est aussi le moment de la polémique «J’accuse» de Polanski. Un post facebook de Stéphane Goudet, fait au mépris du devoir de réserve, fait du Méliès le centre médiatique du débat, avec des manifestant.e.s dans le hall du cinéma (collage féminicides) https://t.co/YajktVDIMc

L’exposition du film « ceux qui nous restent » à partir de novembre 2019 a clairement été exprimé le 20 novembre 2019 comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase et plusieurs collègues sont venu en témoigner.

Elle faisait la promotion de "Ceux qui nous restent" au @FEMAlarochelle, selon elle à titre privé, tandis que sa cheffe considérait que durant un festival, « on est en service 24/24 », elle l'a dit en ma présence et devant un collègue CGT. ça devrait faire bondir un syndicaliste!

Ma version au sujet de la programmatrice jeunesse, qui a quitté l’établissement depuis, est qu’elle était mise en difficulté et en souffrance entre autres par l’importance du film « ceux qui nous restent ».

Il me rendra même responsable (en partie seulement, bien sûr) du congé maladie d’une collègue. Alors que des faits gravissimes d'abus d'autorité, de fautes d'encadrement très préjudiciables aux agents, de mise en cause précise de Goudet ne sont pas relevées.

L’auteur CGT du rapport ne transmettra pas toutes les informations avec moi, minimisera ou ne rapportera pas certains témoignages, demandera de limiter ma participation aux rencontres avec les agents, inventera une défiance des agents quant à ma présence.