RT @TimoVilars: Thomas Midgley, le chimiste qui voulait "aider l’humanité", est à l’origine de deux des pires pollutions du XXᵉ siècle. "Fi….

Cette semaine, dans 420ppm, je reviens sur les projets - plus ou moins périlleux - qui visent à sauver la banquise et les calottes glaciaires, de l'IAS aux pôles à l’amélioration de l’albédo par le biais d’un sable réfléchissant. (merci @mattjohenry).

Join millions who have switched to Grok.

Qui croit encore, comme le dit le nouveau ministre que, "le développement d’une conscience écologique et sociale de plus en plus aiguë va amener les marchés, les investisseurs et les entreprises à évoluer" ?.

Alors même que la transition patine parce que les dits investisseurs ont compris que le pétrogazier rapportait plus que les renouvelables et que les investissements dans les clean tech se cassent la gueule.

"Si les investisseurs et les banques changent leurs politiques de prêts et d’investissement, l’économie change. C’est un levier aussi puissant que le levier réglementaire car toutes les entreprises ont besoin d’accéder au marché et aux financements.".

Mais rassurez-vous, il ne s'agit pas de contraindre mais d'"avoir un débat démocratique [. ] sur la définition d’un taux de rentabilité du capital explicite qui fonctionne comme une cible sans pour autant être réglementaire." C'est un peu comme jeter une pièce dans une fontaine.

"On considère désormais que 15 % de rentabilité est la règle. Cela a conduit à une concentration de richesse. Par ailleurs, ces exigences de rendement du capital ne permettent de financer qu’un nombre limité de projets." Il parle de revenir à un taux admis de 7 %. .

Eh oui, c'est Eric Lombard, le nouveau ministre de l'Economie dans un entretien pour la revue Germinal : .

Qui a dit "La rentabilité du capital que nous connaissons depuis 20 ans est très excessive et détourne une part de la valeur trop importante vers les actionnaires alors qu’elle devrait davantage permettre de financer la transition écologique et de mieux rémunérer les salariés" ?.

Le numéro double du @Le_NouvelObs qui revient sur les 25 premières années de ce siècle est au top. Attentats, création de Facebook, narcotrafics, crise des subprimes, éveil du Sud Global, Fukushima, taux de CO2 toujours plus haut dans l'atmosphère, Tinder.

Cette semaine dans 420ppm, je me demande pourquoi Elon Musk aime tant l’échelle de Kardachev et pourquoi les entreprises de la tech se piquent de start-up qui veulent amplifier des cycles longs du carbone.

Cette semaine dans 420ppm, je discute avec Viktor Jaakkola du collectif finlandais @OperaatioArktis. Ce groupe d'anciens d'Extinction Rebellion tente d'imposer la géo-ingénierie solaire dans le débat public et incarne un retournement désespéré.

Cette semaine, dans 420ppm, j'essaie de comprendre d'où vient la théorie des chemtrails et pourquoi elle accompagne comme une ombre la critique de la.#géoingénierie. Est-il vrai que le complotisme est sur le point de dévorer le mouvement climat ? .

RT @CestPasDuVent: Extraire le carbone de l'atmosphère ou bloquer le rayonnement solaire pour limiter le réchauffement climatique : est-ce….

RT @GregLemenager: “Il ne faut pas opposer la lutte contre l’antisémitisme et la solidarité avec les Palestiniens” . Remarquable intv de ⁦@….

Cette semaine, dans 420ppm, j'essaie de cartographier les points de vue sur les "émissions négatives". De ceux qui pensent que c'est un leurre à ceux qui rêvent de "miner le ciel", en passant par les théoriciens qui imaginent un "socialisme du carbone".

RT @ericaeschimann: Un colloque climatosceptique divise l'Académie des sciences vs l'Académie des sciences morales et politiques : mon enqu….

Pour le contexte :

Le dernier demi-siècle, une métaphore

D'où vient l'idée que la géo-ingénierie devienne une simple infrastructure, une modulation ennuyeuse des cycles biogéochimiques de la planète ?.