Rendez vous ce soir 21h 🔴Live avec @OpinionsRue pour commenter un entretien épistémique

On prend souvent le dialogue trop au sérieux. Et si la clé pour aborder les sujets sensibles, c’était… le jeu ? 🎲Avec Valérie Gauthier, professeure à HEC, on explore comment s’amuser peut aider à mieux s’écouter. 🎥Live LinkedIn : https://t.co/tMrk0siRkj

Pour un bon débat, il faut un bon cadre. Intéressant de voir le sujet émerger dans les discussions sur le budget. Dommage qu'il soit l'objet d'une réponse partisane. Dans tous les cas, on manque en effet d'un cadre propice à un échange constructif.

👉 Lire l’article complet + récupérer l’outil : https://t.co/T7ZoJRd9gW Créer autrement dans un monde polarisé, c’est possible. #contenu #médias #dépolarisation #Debatology

Et un outil gratuit (avec Corentin Eveno) pour diagnostiquer → améliorer la contribution de tes contenus à la dépolarisation, sans perdre en impact.

Dans l’article, je partage un cadre en 5 critères pour revoir un post/vidéo avant publication : ✨ Signal émotionnel 👥 Relation humaine 🔄 Transformation narrative 🧩 Identité commune 🧭 Contexte complet

Ce qui marche pour dépolariser : • des récits personnels (on voit la personne avant la position) • des identités communes (nous face au problème, pas “eux vs nous”) • des émotions prosociales (gratitude, compassion, surprise)

Bonne nouvelle : l’attention ne répond pas qu’à la colère. Des émotions positives et intenses (émerveillement, fierté collective, vulnérabilité) diffusent aussi très bien sans fracturer.

Et le “miroir déformant” fait le reste : une petite minorité très bruyante donne l’impression d’être la norme → on surestime les positions extrêmes, on sous-estime les modérés.

Pourquoi un contenu polarise ? Parce que les plateformes surfent sur l’attention → la négativité et le langage identitaire gagnent mécaniquement en portée. Additionnés, ils cartonnent.

Comment faire du contenu qui marche sans contribuer à la polarisation ? Le dilemme “nuance vs portée” est souvent… faux. Même si on a de bonnes raisons de penser qu'il est vrai. 🧵👇

#PPF2025 | Le @ParisPeaceForum, c'est parti ! 500 intervenants et 3000 participants réunis à Paris autour d'un thème : "Nouvelles coalitions pour la paix, les peuples et la planète".

🎧 Épisode complet avec Antonin Atger disponible ici : 👉 https://t.co/ZLFbj2eXAI #Complotisme #Dépolarisation #Psychologie #Dialogue #Indébattable #Debatology

Quelques leviers simples pour garder la relation vivante 👇 🗣️ Parler en “je”, pas en “tu”. 🔐 Préférer les discussions privées. 🤝 Chercher les zones d’accord avant de pointer les écarts. ⏳ Laisser le temps faire son travail.

Et il y a cette erreur classique : Croire qu’on parle de faits, alors qu’on touche à l’identité. Dire “tu te trompes” ne corrige pas une erreur cognitive. Ça menace un sentiment d’appartenance.

En privé, c’est différent. Le besoin de “tenir son rang” disparaît. L’autre peut respirer, nuancer, douter. C’est souvent dans les échanges calmes et sans spectateurs que la réflexion redémarre.

C’est pour ça que le fact-checking frontal échoue souvent. Pas parce que les faits sont faux, mais parce que la confrontation publique ferme toutes les issues de sortie. Personne ne veut avoir tort en public.

J’en ai parlé avec @AntoninAtger , chercheur en psychologie sociale du complotisme (et auteur de SF). Ce qu’il observe : ce n’est pas que la croyance qui sépare, c’est la défiance. Quand on se sent exclu du jeu collectif, les “contre-récits” deviennent un refuge.

Comment parler à quelqu’un qu’on pense “complotiste” sans s’énerver, sans le perdre, sans se perdre soi-même ? Spoiler : ce n’est pas une question d’intelligence, mais de confiance. 👇🧵

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