Frustration
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Magazine web indépendant de critique sociale. Analyses, enquêtes, podcasts, vidéos... Chroniques de la guerre des classes et de la prospérité de ses élites.
Paris, France
Joined March 2015
La France cet « enfer fiscal »
91 personnes sont devenues milliardaires en héritant en 2025: la France sera le 3ème pays au monde à avoir le plus d'héritiers milliardaires dans les prochaines années https://t.co/J3sSYBQE5h
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« LE GALA DE STERIN N’AURA PAS LIEU » Les antifascistes infiltrent et perturbent la nuit du bien commun de Sterin à coups de feux d’artifices sur le toit des Folies Bergères
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"La France est le pays le plus mortel au travail d’Europe : selon Eurostat, la moyenne européenne s’établit à 1,63 accident mortel pour 100 000 travailleurs. Ce taux d’incidence est de… 3,6 en France." https://t.co/Ma32pOdulI
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Frustration Magazine, média indépendant et offensif qui relate la guerre des classes.
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20- Nous voulons la révolution, mais une révolution démocratique, anti-autoritaire et vivable. Lire l'article complet de @etievant_g :
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Frustration Magazine, média indépendant et offensif qui relate la guerre des classes.
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19- À Frustration, nous voulons l’égalité, mais pas au prix de la liberté. Nous assumons la conflictualité, mais sans chercher à remplacer une domination par une autre.
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18- Nous ne croyons ni aux messies politiques, ni aux solutions purement techniques. Nous croyons aux majorités sociales capables de s’organiser, de se défendre, de reprendre ce qui leur appartient, en toute autonomie.
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17- Cet horizon n’a rien d’abstrait : il se construit dans les rapports de force, dans la grève, le blocage, la désobéissance, dans toutes les formes de résistance concrète à la domination.
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16- Nous voulons une société sans classes, débarrassée des hiérarchies inutiles, où la richesse produite collectivement serait administrée démocratiquement, où la liberté individuelle ne se paierait ni de misère ni de soumission.
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15- Nous accueillons à Frustration les différentes tendances de l’anticapitalisme que ce soit, par exemple, à travers des recensions ou des interviews. Nous ne prétendons pas avoir un avis sur tout, car nous restons un média et non un parti politique.
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14- Nous souhaitons aider à former un camp majoritaire contre la classe dominante. Pour nous, il faut rompre avec les réflexes esthétiques qui cloisonnent la critique sociale. Il faut nommer les choses sans avoir besoin d’utiliser un vocabulaire militant pour s’auto légitimer.
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13- Nous ne considérons pas que la République, même dite “sociale”, soit en elle-même une solution. Par exemple, notre préférence va aux Communards davantage qu’au Front populaire : parce que la Commune fut une tentative d’autogestion et de démocratie directe.
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12- Nous nous tenons à distance des discours de gauche qui continuent de fantasmer l’État comme solution unique, et qui peinent à comprendre que le problème n’est pas seulement l’injustice matérielle, mais aussi la domination quotidienne exercée sur le travail et les corps.
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11- Pour qu’une transformation sociale soit désirable, elle doit être démocratique et donc partir des individus et des collectifs. Nous nous éloignons donc des visions autoritaires de l’émancipation, qui visent à défendre le bilan des régimes totalitaires, quels qu’ils soient.
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10- Les pensées antiracistes et féministes ont renouvelé les théories capables d’agir concrètement sur la vie sociale. Nous nous inscrivons dans ces héritages tout en réaffirmant la lutte des classes, qui désigne l’antagonisme entre la bourgeoisie et les classes laborieuses.
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9- Notre objectif est de fournir des outils d’analyse qui, au travail comme dans la vie quotidienne, face aux médias comme à la politique, permettent de mieux comprendre le réel et d’identifier des leviers d’action sur le cours des événements.
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8- Nous critiquons les centrales syndicales, mais nous ne jugeons pas le syndicalisme dépassé : l’action des syndicalistes reste essentielle pour protéger les salariés. Nous distinguons les limites des appareils bureaucratisés de l’engagement sincère des militants.
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7- Les institutions électorales bourgeoises sont conçues pour ne permettre que l’application de programmes conformes aux intérêts dominants. Elles n’accoucheront donc jamais miraculeusement d’une révolution « citoyenne » renversant la constitution qui les fait vivre.
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6- En réalité, nous sommes avant tout anticapitalistes et conscients que ce terme de “gauche” regroupe le plus souvent des positions contradictoires. D’ailleurs, l’idée d’une unité de la gauche relève pour nous surtout d’une illusion électorale.
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5- Nous considérons qu’il n’existe pas de véritable issue électorale dans la période politique actuelle. Nous nous qualifions parfois de “gauche”, mais surtout par défaut, car il est difficile d’échapper complètement à cette étiquette.
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4- Nous sommes indépendants des partis politiques et nous revendiquons une distance assumée vis-à-vis d’eux. Leur fonctionnement est guidé par des objectifs électoraux, et leurs programmes, comme leurs choix d’alliances souvent très court-termistes découlent de ces impératifs.
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