Au vu de son postulat, #UnSimpleAccident était taillé pour la Palme d’Or. Et il l’a eu… mais est-ce vraiment mérité ? Il y a des atouts : Panahi n’est plus devant sa caméra, la satyre est acerbe comme il faut, mais c’est un peu facile et ça tourne vachement autour du pot… non ?

Linklater accouche plus d’une vidéo Et tu savais pour de Clararunaway voire d’une statue du Musée Grévin que de la #NouvelleVague éponyme. Tellement satisfaite et caricaturale que la reconstitution sonne toujours fabriquée jamais incarnée. Parfait pour exciter le jeune cinéphile.

Comme d’hab avec Jimenez, c’est rythmé, bien emballé… mais bébête qui penche dans le mauvais camp niveau scénario. Et #Chien51 ne déroge finalement pas à la règle mais attriste en trahissant ses intentions de base prometteuses avec un twist lâche et conventionnel. Le🍑entre 2🪑.

Je me demandais combien de temps il faudrait attendre pour qu’elle arrive sur Twitter. J’ai ma réponse.

Ares opening scene with the music is 100% pure TRON. What a vibe!

Ça tire un chouilla trop sur la corde de la nostalgie et les clins d’oeils référencés mais ça témoigne de toutes les bonnes volontés de #TronAres, qui est avant tout et comme ses prédécesseurs une bombe spectaculaire de technologie et un peu moins de scénario. Mais c’est magique.

Très à l’aise avec le genre et un peu plus démonstratif et cru qu’à l’accoutumée, Francis Lawrence rejoue avec #Marcheoucrève une partition des plus actuelle déjà présente dans les Hunger Games. Manque seulement à embrasser vraiment la face horrifique et psychologique d’origine.

Comme le train de l’infini, #DemonSlayerInfinityCastle démontre que le format long-métrage et le grand écran sont parfaitement adaptés pour cette licence. Animation bluffante, souffle épique doux amer retentissant. Mais les problèmes de l’œuvre persistent, genre cette structure…

Shane Black est de retour avec ce qu’il sait faire de mieux. Le savoir faire est bien au rendez-vous avec #PlayDirty, film de braquage aussi attendu que malin et généreux avec la sauce douce-amère caractéristique du cinéaste. Un vrai plaisir qui s’émancipe du film de plateforme.

#Lancedur, c’est une ultime aventure épique et touchante que propose Ankama. Seul soucis, la propension à surligner constamment la moindre intention de mise en scène par le dialogue, chose qui rend le périple de plus en plus déplaisant, surtout que c’est pas très subtil de base.

Il manque à #UneBatailleApresLAutre ce qu’il y avait précisément dans son mineur mais bon Licorice Pizza : une cellule intimiste plus prononcée, qui aurait servi à mieux adhérer à cette famille dysfonctionnelle et éclatée par la force des choses. Hormis ça… très très grand film.

L’enfant de Sorcerer et MAD Max : Fury Road est né et s’appelle #Sirat. Et comme ses modèles, ça promet une épopée et un rendez-vous avec la mort sans pitié, doublé d’un récit de fantôme tragique et infernal dans un décor désertique où l’histoire semble se répéter avec rudesse.

Gozlan construit toujours plus ses thrillers paranos avec des tropes désuets et ça a son charme. Mais avec #Dalloway et sa théorie du complot sur l’industrie qui s’émancipe des artistes en vampirisant leurs idées par l’IA, bah c’est pertinent en théorie mais ridicule en pratique.

「OFFICIEL」PREMIER TRAILER POUR L'ANIME JOJO'S BIZARRE ADVENTURE: STEEL BALL RUN ! 🐎

Le fait qu’ils viennent de nous teaser indirectement deux nouvelles mégas évolution dans un tout petit screen

Ce dernier volet de #Conjuring à comme son prédécesseur, pour lui, de tenter quelque chose de frais. Le problème c’est qu’il ne va jamais au bout de ses idées et qu’en dépit de quelques unes structurelles et de mise en scène, tout ça a du mal à cohabiter et la sauce ne prend pas.

Marrant d’en faire une romance à caractère érotique comme le ferait le plus minable des After… c’est Fennell donc ça donne envie de voir ce qu’on peut faire de ça mais une chose est sure : elle sait composer de sacrés plans. C’est halluciné, ça a de la gueule. C’est au moins ça.

Après le sympathique et premier Les Magnétiques, Cardona confirme avec #LeRoiSoleil, huis clos d’autant plus magnétique que son prédécesseur avec un casting enjôleur qui tente par tous les moyens de maquiller un drame. Ça parle de et ça fait de la mise en scène, c’est malin, bon.

Oui on sent qu’il y a du Everything Everywhere All at Once mais #Escapefromthe21stcentury c’est surtout chinois. Pour continuer dans les comparaisons, c’est tout aussi fou et sensible mais moins mesuré, un peu plus gratos. Bref ça passe derrière mais c’est loin d’être déméritant.

En 1990, DeVito réalisait une version culte, belle, tragique et mordante qui montait crescendo dans la folie et l’exubérance. En 2025, il n’y a plus qu’une espèce de climax plat, timide et lâche, désamorcé dans le dernier tiers du film... #LaGuerredesRoses, c’était mieux avant.