Fière de contribuer au dernier numéro de la @deferlanterevue et à son dossier consacré à la danse avec un portrait de Bintou Dembélé (elle joue sa dernière pièce aux @FDanseMarseille et @FestivalAvignon cet été ☀️) https://t.co/wN4ErkYh1c…

[critique] @BelindaMathieu « High Gear » de Kidows Kim, mélancolie et DIY https://t.co/TMuQoVfw1X Tel un fantôme flottant dans une décharge, le chorégraphe nous entraîne dans une aventure existentielle et cathartique, entre le monde des vivants et des morts.

[critique] @BelindaMathieu « Arrebentação », la zone de soin de Catol Teixeira https://t.co/oABWzaf7uu Lae chorégraphe Catol Teixeira et ses quatre acolytes nous font pénétrer dans un espace liminal à la matière dense, où les corps nous transforment à @pointscommunsSN

[critique] @BelindaMathieu « 1GUH WATCH » : l’hommage au dancehall de Tamara Alegre https://t.co/1vLxvin4uL La chorégraphe espagnole réunit des pointures du dancehall pour faire jaillir, dans un joyeux désordre, la force contestataire et festive de cette danse.

[critique] @BelindaMathieu « Four New Works », le retour en demi-teinte de Lucinda Childs https://t.co/n1MfbO20Dx La chorégraphe revient avec quatre nouvelles pièces qui font rayonner la simplicité hypnotique de son approche du mouvement, mais dont l’austérité peine parfois à

[critique] @BelindaMathieu Thomas Lebrun branché sur la fréquence de l’amour https://t.co/Uf9fRIMPiG Avec « D’amour », le chorégraphe offre une ode radiophonique à l’amour contre le harcèlement scolaire, en invoquant le cabaret et la pop culture en chansons et en danse.

[critique] @BelindaMathieu « FUGACES », le flamenco réinventé d’Aina Alegre https://t.co/k2Mfvwm41a La co-directrice du CCN de Grenoble déploie une chorégraphie teintée d’un flamenco déconstruit, et réinventé pour sept interprètes, qui rend hommage à l’icône du genre, Carmen

[critique] @BelindaMathieu « [Superstrat[ » tisse des liens entre danses traditionnelles africaines et hip-hop https://t.co/igOmIzwRcL La chorégraphe Anne Nguyen dévoile un solo pour l’interprète ivoirien Mark-Wilfried Kouadio, qui déploie les connexions entre danses africaines

[critique] @BelindaMathieu « MOS », ou le bal des danseurs-bruiteurs https://t.co/iTRItlYZQq Avec ce duo, la chorégraphe grecque Ioanna Paraskevopoulou déplie une danse du bruitage ludique, à la frontière entre le cinéma, le théâtre d’objets, la performance et les claquettes.

[critique] @BelindaMathieu « Une échappée » magique, avec trois fois rien https://t.co/AgjlUeqfqK La chorégraphe Julie Nioche déploie un univers inventif et féérique pour deux interprètes, qui imaginent des mondes grâce à des objets d’apparence banale.

[critique] @BelindaMathieu « Arrebentação », la zone de soin de Catol Teixeira https://t.co/IuFTLLHdX2 Lae chorégraphe et ses quatre acolytes nous font pénétrer dans un espace liminal à la matière dense, où les corps nous transforment.

[critique] @BelindaMathieu « Specky Clark », le virage narratif d’Oona Doherty https://t.co/YIuGYGHVQc La chorégraphe met en scène une fresque qui façonne un mythe autour de son histoire familiale. Le destin de Specky soulève des questions de violence patriarcale et de classe

[critique] @BelindaMathieu Les danses chevaleresques de Marinette Dozeville https://t.co/gDOs6npY0g Avec « C’est comme ça que don Quichotte décida de sauver le monde – Acte 2 », la chorégraphe orchestre une pièce pour neuf danseuses et activistes, et déploie une utopie féministe

[critique] @BelindaMathieu « Dynasties » : sous les strass, la lutte des classes https://t.co/NBBPaiQ0oe Matthieu Barbin, connu sous le nom drag Sara Forever, dévoile un premier spectacle pour les théâtres. Dans ce seul en scène entre glamour et fantaisie, les parcours des pop

[critique] @BelindaMathieu « Fun Times », avant la fin du monde https://t.co/6BkCzgBNUP Ruth Childs questionne l’amusement dans une ambiance grinçante. Ses quatre complices déploient un cabaret déjanté et précis, où plaisir et malaise cohabitent pour montrer que s’amuser devient

[critique] @BelindaMathieu « Bless This Mess », ou jeter son corps dans la fête https://t.co/NRZwuZyLa1 Lancé dans une danse percutante qui explose sur un beat électro rapide et dense, le quatuor mené par la chorégraphe Katerina Andreou offre un miroir au chaos du monde.

Le capitalisme tue. Le capitalisme a toujours tué. La preuve avec une belle leçon d'histoire venue des inondations dans les Pays-Bas du Moyen Âge ! Un thread ⬇️

[critique] @BelindaMathieu Les « R·onde·s » changeantes de Pierre Rigal https://t.co/Eq8yZLDQoR Avec sa dernière création, le chorégraphe entraîne sept interprètes dans une farandole qui ne cesse de se transformer pour faire virevolter les imaginaires.

[critique] @BelindaMathieu « DUB », ou le ballet des danses urbaines https://t.co/C3QbOu3tbZ « DUB », ou le ballet des danses urbaines à la @maisondeladanse

[critique] @BelindaMathieu Pour Tânia Carvalho, le Tanzmainz mute en créatures étranges https://t.co/q63EKzTS13 Dans « Mysterious Heart », la chorégraphe portugaise collabore avec l’ensemble de danse contemporaine allemand, qui embrasse son univers singulier, comique et étrange.

[critique] @BelindaMathieu La Peau entre les doigts, danse humide https://t.co/CFFIWtA0g9 Le.a chorégraphe Catol Teixeira continue d’explorer les porosités de sa danse, ici avec la salle et le public. A voir ce week-end dans le cadre du festival Échelle Humaine de Lafayette