Archives de l'AP-HP
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#archivesaphp conservent et communiquent les archives hospitalières et administratives de l'@APHP (Assistance publique - Hôpitaux de Paris) de 1157 à nos jours.
Le Kremlin-Bicêtre, France
Joined March 2017
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Si on ignore leur parcours professionnel et ce qu’ils sont devenus – Zaïdorf aurait été fusillé au Mont-Valérien en décembre 1941 – ils incarnent par cette sorte d’anonymat tous ceux qui ont essayé à leur niveau, pacifiquement, de dire non, jusqu’au sacrifice de leur vie #2GM
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Cette affaire met face à face 2 mondes que la guerre a rendu incompatibles : d’un côté des cadres dirigeants se disant « bons Français », partisans de l’ordre; de l’autre, des jeunes gens étrangers, juifs, militants communistes, refusant la guerre, les nazis, la collaboration.
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#ChallengeAZ Z comme affaire Zaïdoff-Saloff-Zreller évoquée lors des auditions du directeur de la Salpêtrière, devant la commission d’épuration de la Seine, et de Serge Gas, directeur général de l’AP devant la cour de justice. Ces internes ont distribué des tracts dans l’hôpital
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Le 27 juin 1945 l’hôpital est restitué par les Américains. Le directeur se félicite alors d’avoir obtenu 1800 draps neufs américains en compensation du linge français détruit ou usé. Début juillet, l’hôpital devient centre de tri pour l’accueil des déportés de retour des camps.
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#ChallengeAZ Y comme Yankee Après 4 ans d’occupation allemande l’hôpital Lariboisière est réquisitionné par les services de santé américains. Les rapports du directeur montrent que les relations restent cordiales chacun défendant néanmoins les intérêts de sa propre administration
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2 déclarations de décès du 29 août 1944 concernent Lucien Marquet alias Quénard. Les rectifications opérées ensuite font comprendre que Marquet était son nom dans la clandestinité. A postériori, ces alias compliquent les identifications : sous quel nom chercher les victimes ?
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Dans l’urgence, l’AP fait au mieux pour donner une identité aux blessés qu’on amène à l’hôpital. Nombre de soldats ou civils sont nommés X, faute de pouvoir identifier les corps. La clandestinité et les faux papiers compliquent encore les opérations d’identification. #histmed
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#ChallengeAZ X comme Nommé X Le registre des déclarations de décès de l’Hôtel-Dieu, pour la période du 19 au 27 août (insurrection et libération de Paris), dénombre près de 300 décédés de blessures de guerre. La mention « carbonisé » laisse entrevoir la violence des affrontements
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Y. Wiart est révoquée et sa pension suspendue. D’autres directeurs ont subi la même peine, comme celui de Lariboisière, à qui on a cependant reconnu des circonstances atténuantes, son hôpital ayant été réquisitionné par les Allemands pour y soigner les seuls blessés allemands.
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On lui reproche d’être à l'origine de nombreuses perquisitions effectuées dans son établissement et d’avoir fourni des informations aux autorités d’occupation sur le comportement politique de certains agents, ce dont témoigne M. Gouttebroze, renvoyé et surveillé par la police.
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#ChallengeAZ W comme Yvonne Wiart directrice de l’hôpital Trousseau en 1941-1942 qui est traduite devant la commission d’épuration du dép. de la Seine le 30/11/1944, à l’instar de nombre des directeurs d’hôpitaux de l’AP, dont le 1er d’entre eux, Serge Gas, directeur général
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Le code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre stipule que la mention «Mort pour la France» n’est pas réservée aux militaires, tués à l’ennemi, morts de blessures de guerre ou prisonniers de guerre, mais peut aussi être attribuée aux victimes civiles.
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À 1h45 du matin, surpris par le bombardement de la gare de triage de la Chapelle, lui et sa famille se réfugient dans leur cave, n’ayant pas le temps de gagner un abri. Mme Jubert est blessée, son fils sain et sauf, mais sa fille et son mari sont malheureusement tués.
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#ChallengeAZ V comme Victime civile Jean Jubert, entré à l’AP le 10 mars 1936 en tant que blanchisseur, travaille à l’hôpital Lariboisière à partir du 9 décembre 1937. Ce dernier est mort pour la France le 21 avril 1944, à son domicile, 30, rue des Graviers à Saint-Ouen. #2GM
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Jean Rozinoer, externe en 4eannée, appartient au réseau de la Salpêtrière. Il dirige le premier service de santé des FTPF en région parisienne en 1942. Arrêté, torturé, il est déporté et assassiné en juillet 1943 au camp de Mathausen.
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#ChallengeAZ U comme Universitaire Au début de la guerre, beaucoup d’étudiants en médecine sont mobilisés, causant une pénurie de personnel médical dans les hôpitaux. Ils sont nombreux aussi à intégrer des réseaux de résistance comme celui de la Salpêtrière. #histmed #2GM
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Elle écrit à deux reprises à l’Assistance publique en 1943 afin de toucher les 4/5e de sa pension, n’ayant perçu qu’un unique acompte lors de son départ. Son dossier de pension, comme ceux de tant d’autres femmes, témoigne de leur stigmatisation par le Gouvernement de Vichy.
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Agent des services hospitaliers à l’hospice des Enfants assistés, Marie Albertine Moinet épouse Thabourey, âgée de 46 ans, est mise en congé sans solde et admise à faire valoir ses droits à la retraite le 1/12/1941 par un arrêté du 1er mars 1944, 28 mois après la date effective !
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#ChallengeAZ | T comme Travail féminin. La loi du 11/10/1940 relative au travail féminin écarte les femmes mariées des emplois publics. Complétée par un arrêté du préfet de la Seine du 5/6/1941, elle prive de travail et de ressources de nombreuses femmes, telles Marie Moinet.
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