Le scoop à tomber de la chaise.

Cet été, plusieurs agents syndiqués de la CAF de la Seine-Saint-Denis avaient été injustement visés par des procédures disciplinaires. Face à cette répression syndicale, mes collègues député.e.s insoumis.e.s du 93 et moi nous sommes mobilisé.e.s : Nous avons écris un courrier

La gauche radicale est « l’antidote à Trump » à New York, mais « le péril populiste » à Paris. Zohran Mamdani est la solution là-bas, ici ce serait le problème. Même gauche, deux traitements médiatiques. Sur place aussi les ralliés de la 25ème heure adorent ce qu'ils ont

Villepin exprime des regrets depuis qu’il vise l’Élysée. Mais les quartiers populaires ont de la mémoire. Pour les morts, les mutilés, les humiliés : on n’oubliera pas en 2027.

Les viols ont été commis avec circonstances aggravantes : — Sur une personne en situation de vulnérabilité. — En réunion: 2 policiers. — En un lieu affecté à l’exercice de la justice (tribunal). — Les viols ont été filmés. Préméditation. 🧵👇 https://t.co/7Xv7ZM2e7Q

Deux policiers mis en examen pour un viol présumé au tribunal de Bobigny : la plaignante "était dans une situation de contrainte physique qui doit participer à l’analyse de ce prétendu consentement", déclare Laure Beccuau, procureure de la République de Paris.

20 ans après la mort de Zyed et Bouna, la parole des jeunes résonne à l’Assemblée nationale. Merci à @blast_france et @T_Bouhafs de relayer ce moment essentiel : la justice et une police républicaine restent à conquérir.

« L’accusation de violences aggravées c’est une manœuvre du parquet pour les juger en correctionnelle alors qu’il s’agit d’une tentative d’homicide qui relève de la cour d’assise. » Arié Alimi.

Nul n’est au-dessus des lois. Les agents dépositaires de l’autorité publique doivent être irréprochables dans l’exercice de leurs fonctions. Une police républicaine, c’est une promesse faite à la population et une exigence envers ceux qui la servent.

Réformer la police, protéger toutes les victimes sans distinction, renforcer les moyens de la police judiciaire, garantir un contrôle réellement indépendant de la police et de la gendarmerie : c’est défendre notre démocratie et ses principes fondamentaux.

Je rappelle que la police nationale est un service public. Elle rend compte de son action aux citoyens et à leurs représentants élus. Au service de la population, elle doit s’astreindre à une déontologie irréprochable, quelles que soient les difficultés de ses missions.

Il y a quelques semaines, je publiais la vidéo d’un policier giflant et crachant sur un jeune à Saint-Denis. Silence total. Aujourd’hui, des accusations de viol aggravé : même mutisme. Un silence qui en dit long sur le malaise d’une certaine police.

Les syndicats de police “s’honoreraient” à réagir après les accusations de viol visant deux policiers. Eux d’ordinaire si prompts à dénoncer les députés qui exercent leur rôle de contrôle. Pourquoi ce silence ? @mvalet_officiel @alliancepolice @ScpnCommissaire une réaction ?

🚨Les deux policiers accusés de viol sur une femme de 26 ans au dépôt du tribunal judiciaire de Bobigny ont été tous deux mis en examen pour viol aggravé et écroués. Ils dormiront donc en prison ce soir. Une nouvelle fois, mon absolu soutien à la victime et toutes les autres.

L’avocat de ce policier s’est couvert de honte. Son client, lui, dormira en prison ce soir. Qu’on le rappelle : aucune femme, prévenue ou non, ne mérite d’être [viol]entée par ceux qui jurent de la protéger. Aucune.

🇸🇩 Avec @RimaHas, @BilongoCarlos, @GabrielleCthl et @Portes_Thomasc, nous étions aux côtés de celles et ceux mobilisé·es pour dénoncer les crimes commis par les dirigeants sanguinaires au Soudan et au Darfour, soutenus par les Émirats. Se taire c’est accepter.

Les images et témoignages confirment ce que je dénonçais hier au dépôt du tribunal de Bobigny. La garde à vue des deux policiers mis en cause est prolongée. À la justice maintenant de déterminer, en toute impartialité, si les crimes reprochés imposent une détention provisoire.

Une femme vulnérable, détenue dans les geôles du tribunal, accuse deux policiers censés la protéger de l’avoir violée. L’un d’eux aurait filmé la scène avec son téléphone. Si ce n’est pas le sentiment ultime d’impunité… Révoltant.

En ma qualité de parlementaire, je souhaite la transparence complète et des réponses rapides, fondées sur des faits vérifiables. Dans l’attente des conclusions de l’enquête en cours, je m’engage à rendre compte publiquement des suites qui lui seront données.

Vous l’aurez compris au-delà du caractère insalubre et vétuste du lieu, se pose la question de son fonctionnement, de ses effectifs et surtout du respect des droits fondamentaux des prévenus et notamment des femmes et des mineurs…