Quand la guerre se termine, les cauchemars commencent.
À Gaza, étouffée par quatorze ans de blocus, la récente escalade de violence entre le Hamas et Israël a aggravé les dégâts psychologiques, notamment chez les mineurs. Mon reportage pour
@libe
@SamForey
@libe
Je n'ai pas lu votre article, n'étant pas abonné.
Mais quelles que soient nos opinions respectives sur le Hamas, l'accroche est malhonnête: il n'y a pas de guerre avec 2 belligérants "symétriques", il y a une occupation inacceptable et des cauchemars bien avant le Hamas
@SamForey
@libe
La guerre a horreur des enfants partout . En Israël aussi mais pas que . Dans les camps syriens au Liban etc . Partout . Pourquoi zoomer sur eux si ce n’est pour vendre votre papier à vos lecteurs de gauche en manque de haine des juifs ...?